La Cause littéraire : entretien avec Amandine Dhée
Un entretien mené par Virginie Neufville sur La Cause Littéraire, site dédié à la littérature, aux
écrivains, connus ou moins connus, aux formes d’écriture diverses, aux
voies de réflexion et de création originales, aux approches novatrices
de la chose écrite.
Extrait :
« Amandine Dhée, c’est la simplicité incarnée. Rencontrée au Salon du livre de Paris alors qu’elle dédicaçait son dernier livre, c’est avec naturel et décontraction que nous avons engagé la conversation. Son approche de la littérature m’a séduite, puis la lecture de son ouvrage, d’où notre rencontre à Lille pour cet entretien.
Un entretien mené par Virginie Neufville sur La Cause Littéraire, site dédié à la littérature, aux
écrivains, connus ou moins connus, aux formes d’écriture diverses, aux
voies de réflexion et de création originales, aux approches novatrices
de la chose écrite.
Extrait :
« Amandine Dhée, c’est la simplicité incarnée. Rencontrée au Salon du livre de Paris alors qu’elle dédicaçait son dernier livre, c’est avec naturel et décontraction que nous avons engagé la conversation. Son approche de la littérature m’a séduite, puis la lecture de son ouvrage, d’où notre rencontre à Lille pour cet entretien.
Vous êtes une jeune auteure ; racontez-nous un peu votre parcours et votre rencontre avec votre maison d’édition
J’ai commencé sur des scènes ouvertes, car dès le départ j’ai accordé beaucoup d’importance à l’oralité de l’écriture. J’aime mettre mes textes « en voix ». Le concept des scènes ouvertes est fort intéressant en cela, car dehors, dans un lieu public, on déclare « la scène ouverte » et chacun peut déclamer soit son propre texte soit lire celui d’un autre. Ainsi, on sait tout de suite si nos mots ont de l’impact sur le public.
Avec la Compagnie Générale de L’Imaginaire, je participe à des animations collectives, des ateliers. Enfin, avec Les encombrantes (compagnie théâtrale) nous écrivons et jouons des textes féministes.
Ma rencontre avec Benoit Verhille (Editions La Contre Allée) s’est faite suite à des textes que j’avais écrits sur la ville. En effet, ce thème m’a toujours fascinée ; il a aimé et émis le souhait de les publier. C’est comme cela que notre aventure commune a commencé.
Dans « Et puis ça fait bête d’être triste en maillot de bain », vous considérez l’écriture comme une forme d’Arthérapie. Est-ce vraiment un remède pour aller mieux ?
Je pense qu’il faut toujours être en contact avec sa capacité de création. C’est vrai que l’écriture est un acte solitaire en soi, mais écrire c’est aussi une façon d’aller vers les autres… «
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