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Eduardo Berti
Eduardo Berti est membre de l’Oulipo depuis juin 2014. Né en Argentine en 1964, écrivain de langue espagnole, traducteur et journaliste culturel, il est lui-même traduit en sept langues, notamment en langue française où on peut trouver presque toute son œuvre.
Il réside depuis quelques années à Bordeaux et, parfois, écrit ou réécrit en français, comme ce fut le cas pour Une présence idéale ou Les Mauvaises méthodes pour bonnes lectures, tout comme pour Faster.
Après Inventaire d’inventions (inventées) (2017), Un père étranger (2021), Un fils étranger (2021), Une présence idéale (2022) – traduit en anglais (USA) et en espagnol (Espagne, Argentine, Chili, Uruguay) –, et Mauvaises méthodes pour bonnes lectures (2023), Faster est son sixième ouvrage à La Contre Allée.
À découvrir également : Demain s’annonce plus calme (éditions Do, 2021).
Vous pourrez retrouver Eduardo Berti lors d’une résidence d’écriture avec Désir de lire les période du 24 février – 9 mars, 12 avril – 20 avril, 27 avril – 11 mai et du 1 juin – 7 juin, avec des ateliers et rencontres, notamment le 7 mai pour un atelier d’écriture et de lecture, sous forme de jeux littéraires à Sigonce de 10h30 à 12h30 et le 5 juin à Forcalquier à la librairie La Carline (plus d’informations).
En parallèle, à l’occasion de la parution en roumain d’Un fils étranger, Eduardo Berti sera en tournée en Roumanie pour de multiples rencontres entre le 19 mars et 28 mars.
Traduction roumaine de « UN FIU STRÄIN» (editura Creator) » (« Un fils étranger ») par Alexandra Spanu.
Vous pouvez également retrouver Eduardo Berti en France à l’occasion de multiples rencontres.
28/05/2025 – à partir de 17h à la librairie Le Biglemoi, à Lille pour un atelier suivi d’une rencontre à l’occasion de la parution de son nouvel ouvrage Faster dans le cadre du festival Haut les livres !
7/06/2025 – 19h30, Lecture à deux voix en compagnie d’Hervé Le Tellier à la salle Mutualité de la Médiathèque de Montélimar
2/07/2025 – Rencontre à la librairie la machine à lire à Bordeaux.
Crédits photo : Wiktoria Bosc