Laurent Petit au NPA

 

L’hebdomadaire du NPA consare une chronique à La Ville sur le divan dans sa rubrique « essais » :

« la ville est malade de sa pensée, de son inconscience. la ville s’étend
non seulement sur le divan mais aussi sur la géographie des plaines et
des champs. la ville est grosse, elle étouffe, elle vomit ses déchets sur
les plus petites villes… »

 

L’hebdomadaire du NPA consare une chronique à La Ville sur le divan dans sa rubrique « essais » :

« la ville est malade de sa pensée, de son inconscience. la ville s’étend
non seulement sur le divan mais aussi sur la géographie des plaines et
des champs. la ville est grosse, elle étouffe, elle vomit ses déchets sur
les plus petites villes… »

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