Pour le plaisir de partager une belle chronique de l’ouvrage « D’azur & d’acier » au sein de la revue de L’ABF.
Philippe Levreaud propose cette chronique au sein de la revue de l’association des bibliothécaires de France
Fives, ex-cité métallurgique, décomposée-recomposée en 299 briques de texte. Le regard à l’écoute, le passé repousse sur les ruines du présent, lui donne sens mais sans plus en imposer à l’avenir qui pointe, encore incertain. Là où se construisaient des locomotives conquérantes, où l’Internationale trouva sa musique, « quand le passé sera passé, la vraie place sera dans la tète, dans les yeux, dans le cœur». Une magnifique justification des résidences d’écrivains.
Philippe Levreaud propose cette chronique au sein de la revue de l’association des bibliothécaires de France
Fives, ex-cité métallurgique, décomposée-recomposée en 299 briques de texte. Le regard à l’écoute, le passé repousse sur les ruines du présent, lui donne sens mais sans plus en imposer à l’avenir qui pointe, encore incertain. Là où se construisaient des locomotives conquérantes, où l’Internationale trouva sa musique, « quand le passé sera passé, la vraie place sera dans la tète, dans les yeux, dans le cœur». Une magnifique justification des résidences d’écrivains.
Dans ce même N°, on peut lire un large entretien où les paroles de Lucien Suel, Fanny Chiarello, Carole Fives et Jean Marc Flahaut se croisent pour évoquer de quelle façon la bibliothèque fait partie de leurs univers. Ainsi, pour Lucien Suel, cela débute quasiment ainsi : « …les livres, et donc les lieux où l’on pouvait en emprunter m’étaient aussi indispensables que l’eau et le pain. »
D’azur et d’acier. La Contre allée, 2010,128 p., ISBN 978-2-917817-06-3 in Bibliothèque(s) revue de l’association des bibliothécaires de France n° 56, juin 2011
Le lien vers le site BBF : http://www.abf.asso.fr/