« [Roberto Ferrucci] raconte sa ville, Venise, avec l’attention d’un chroniqueur et la profondeur d’un narrateur […] Les paquebots qui défigurent le profil fragile de Venise deviennent pour la première fois les protagonistes d’un roman.» – Francesca Visentin, Corriere del Veneto
« Dans une forme littéraire, ce texte raconte l’effet dévastateur des passages ininterrompus des grands paquebots dans la lagune de Venise et les sentiments qu’ils provoquent chez la plupart d’entre nous, les Vénitiens. Un texte qui met face à face le pouvoir et l’indignation, la politique et la résignation, avec la certitude que la seule et ultime ressource que l’on peut opposer à l’arrogance, à l’idiotie, à l’ignorance, c’est la force des sentiments. Le sentiment d’une époque, le sentiment de deux villes (Venise et Saint-Nazaire), le sentiment des valeurs et du bon sens. Et, ce n’est pas le moindre, le sentiment amoureux. » Roberto Ferrucci
… « ce qu’on peut lire dans ces pages de Roberto Ferrucci c’est sans doute davantage encore la déréalisation de notre monde, le refus de l’histoire et de la géographie que concrétisent et symbolisent le grand navire de croisière et la croisière touristique »… Patrick Deville