Dans le Madrid des années 1930, Matilde cherche un emploi. La jeune femme enchaîne les entretiens infructueux : le travail se fait rare et elles sont nombreuses, comme elle, à essayer de joindre les deux bouts. C’est dans un salon de thé-pâtisserie que Matilde trouve finalement une place. Elle y est confrontée à la hiérarchie, aux bas salaires, à la peur de perdre son poste, mais aussi aux préoccupations, discussions politiques et conversations frivoles entre vendeuses et serveurs du salon.
Quand les rues de la ville s’emplissent d’ouvriers et ouvrières en colère, que la lutte des classes commence à faire rage, Matilde et ses collègues s’interrogent : faut-il rejoindre le mouvement ? Quel serait le prix à payer ? Peut-on se le permettre ? Qu’est-ce qu’être une femme dans cet univers ?
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Les libraires en parlent
- Une écriture tout en douceur et en finesse qui révèle pourtant un discourt politique fort... Librairie La Petite Ourcq (Paris)
- À découvrir ! Virginie du Forum des livres (Rennes)
- Découvrez cet ouvrage formidable ! Pauline de la librairie Le Failler (Rennes)
- Des décennies après, ce roman résonne fort. Librairie des Pertuis à Saint-Pierre d’Oléron
- Un roman qui oscille aussi entre légèreté et sérieux. Doux-amer. Aurélie (avis sur Les Libraires.fr)
- Ce roman/témoignage est essentiel pour comprendre :" Qu'est-ce qu'être une femme dans cet univers?" Didier J. (avis sur Les Libraires.fr)
- Un grand roman social et engagé proche du reportage, porté par une écriture concise et avant-gardiste ! Sophie G. (avis sur Les libraires.fr)
- Au-delà de ses engagements politiques, apprécions son écriture tout en force et finesse ! Alain L. (site Les Libraires.fr)
- Un récit poignant qui nous va droit au cœur. Librairie Le Carnet à Spirales (Charlieu)
- Chez Luisa Carnes, on retrouve à la fois la radicalité droite et désespérée d’Hélène Bessette et l’empathie des enquêtes littéraires de Florence Aubenas et de Joseph Ponthus. Librairie L’Ecritoire (Semur-en-Auxois)
- Quelle découverte que cette écriture engagée, implacable et avant-gardiste ! La Nouvelle librairie sétoise (Sète)
- Un grand roman social et féministe, robuste ! Librairie Lune et l’autre (Saint-Etienne)
- Voilà un grand livre de la très moderne Luisa Carnés. Librairie La Droguerie de Marine (Saint-Malo)
- A la lecture de ce roman, on se demande d’emblée pourquoi il n’avait jamais été traduit tant son contenu est important. Hélène, La Chouette librairie (Lille)
- Une écriture sur le vif, on croit y être, dans ce quotidien des employées d'un salon de thé. Librairie La Mémoire du monde (Avignon)
- Luisa Carnès a été une grande journaliste et une voix de la littérature ouvrière de l'entre-deux guerres. Librairie La Madeleine (Lyon)
- Ce portrait de femme est un roman puissant et d'une modernité incroyable . Bibliothèque pour tous (Bondues)
- Quelle belle redécouverte ! Un roman féministe et engagé comme on les aime ! Ariane, de Tulitu (Bruxelles)
- Luisa Carnés témoigne de sa condition d'employée, à l'heure où des revendications syndicales se font entendre dans la rue. L’atelier (Paris 20ème)
- Ici, on est loin du front, mais on reste au cœur des questionnements révolutionnaires ! La Nuit des temps (Rennes)
- L'autrice décortique avec subtilité les mécanismes de domination. Terre des livres (Lyon)
- Ses thématiques sociales importantes résonnent encore aujourd’hui ! Clémence, de La fleur qui pousse à l’intérieur (Dijon)
- Quand les rues de la ville s’emplissent d’ouvriers et ouvrières en colère, que la lutte des classes commence à faire rage, Matilde et ses collègues s’interrogent... Librairie Publico (Paris 11ème)
- Un texte fort, qui gagne en puissance au fil des pages et qui se termine en nous mettant la rage au ventre et au cœur. Marianne, Les Lisières (Croix/Villeneuve-d’Ascq)
- Un roman ou une très longue investigation journalistique ? Le travail de Luisa Carnés est remarquable. Place Ronde (Lille)
- Un roman-reportage d’une surprenante modernité qui s’inscrit dans la tradition de ce genre littéraire apparu dès les années 1920. Librairie Quilombo (Paris 11ème)
- Entre féminisme, condition sociales et ouvrières… d'une plume acérée et juste Les mots à la bouche (Paris 11ème)
- Littérature proletarienne, Tea Rooms est un magnifique roman espagnol d'une écrivaine oubliée. La Limou’Zine (Magnat-l’Étrange)
- Un texte d’ambiance tout en sensibilité et en même temps un témoignage féministe, prolétaire, et à sa façon très politique. Cariño (Paris 10ème)
- Luisa Carnés décrit d'une manière réaliste la vérité sociale des ouvrières de l'époque et à travers Matilde cherchera à éveiller les consciences. Fnac (Quimper)
- Le récit poignant de Luisa Carnés nous transporte dans le monde des travailleuses espagnoles précaires de l'entre-deux-guerres. Un livre et une tasse de thé (Paris 10ème)
- Un roman écrit en 1934 qui n'a rien perdu de sa vivacité, de sa force, ni de son actualité. Page & Plume (Limoges)
- Un roman puissant et émouvant qui nous parle de lutte des classes et de condition féminine dans l'Espagne des années trente. Le livre écarlate (Paris 14ème)
- Un texte à lire absolument pour sa modernité, sa beauté et sa grande liberté. Librairie Du Parc/Actes Sud (Paris 19ème)
- Nous aurions dû connaître l’œuvre de Luisa Carnés beaucoup plus tôt ! Les villes invisibles (Clisson)
- L'impression d'avoir vu un film se dérouler sous mes yeux. Une écriture très moderne d'une journaliste et romancière de la Génération de 27 qui émerge de l'oubli. Zenobi (Malakoff)
- Tea Rooms nous confronte à la situation des jeunes femmes madrilènes pauvres de cette époque. Le monte en l’air (Paris 20ème)
Revue de presse
- Luisa Carnés, l'autrice, une Espagnole méconnue, mérite toute l'attention du monde. Elle y fait une critique avant-gardiste aux traits féministes qui me laisseront très émue à la fin de ma lecture.Libération
- Une écriture documentaire au service d'une fresque sociale, mais sans le côté chiant et donneur de leçons. C’est vivant, haletant, léger et tragique. Université de Liège
- L’autrice y traite donc des violences ordinaires, égrenées par petites touches insidieuses. Le salon de thé est le parfait microcosme des inégalités engendrées par les rouages du capitalisme.Un dernier livre avant la fin du monde
- En se faufilant dans les conversations de tout ce petit monde, Luisa Carnés brosse une critique implacable du capitalisme. L’or des livres
- Petit bijou littéraire ressurgi du passé – merci à ces éditeurs intrépides, chercheurs de trésors.Hebdoscope
- La chronique sociale est juste et intéressante, les personnages attachants et complexes.Convergences révolutionnaires
- «Tea rooms» nous montre avec justesse et minutie le sort des ouvrières dans le Madrid des années 30.Plaisirs à cultiver
- (Luisa Carnés) nous propose une analyse passionnante des oppressions de genre et de classe, dans une approche qu’on qualifierait aujourd’hui d’intersectionnelleATLF
- Tea Rooms est un texte très fort. Publié en 1934, il raconte le quotidien d’un salon de thé à Madrid.Les bonheurs de Cassandre
- Roman social, grand reportage, manifeste politique, journal intime ? Difficile de qualifier avec précision ce texte surgi de l'oubli.une chronique de Marine Landrot
- Il est des livres dont l’urgence historique ressort comme un indispensable rappel allant bien au-delà de sa valeur de témoignage.La viduité
- Ce roman est une perle rare et Luisa Carnés une femme au parcours exceptionnel.Version libre / Les amis du grain des mots (François Jarousse)