Alors qu’il veille, à l’hôpital, son frère Claudio, tout juste opéré de la cataracte, le narrateur s’attache à faire revivre son enfance, et les silences d’une famille.
Avec Claudio, regarde, Alfons Cervera revisite notre coin du monde le plus familier qu’est la maison, un lieu intime traversé par les histoires et les mémoires – parfois enfouies –, par nos héritages, ou par les grands et petits événements de la vie quotidienne ; le deuil, la maladie, l’amitié, la solitude, le déracinement, toutes ces choses dont on ne parle pas toujours.
Claudio, regarde est un texte lumineux sur le temps, sur ce que ça peut être que de cheminer dans la vie aux côtés de celles et ceux avec qui nous avons partagé le territoire de l’enfance, et aussi sur l’importance de ne pas laisser de conversations en suspens avec nos proches.
Pour découvrir un extrait de Claudio, regarde
Couverture réalisée par Renaud Buénerd
Les libraires en parlent
Revue de presse
- Alfons Cervera invente une mémoire qui déborde l’individu, une mémoire qui dépasse la singularité de celui qui la porte. Une mémoire qui abolit en quelque sorte son statut.En attendant Nadeau : « Donner forme à la mémoire » par Hugo Pradelle
- Ce livre est repentance et fronton. Irradiant, intemporel et secret, intime et vaste. Un mémorial, l’ode au regard. Voir.L’élégance des livres, par Evelyne Lèraut
- Alfons Cervera tisse un récit dense et virtuose...Choisir & Lire : Les Notes
- Alfons Cervera revient à ses livres plus anciens qui tissent une large fresque autofictionnelle.Livres Hebdo : « L’inventaire Imparfait » par Sean Rose