Pablo Martín Sánchez

itinéraire

Un auteur – traducteur salué par la critique

D’abord avec Fricciones, finaliste du prix « La Tormenta en un Vaso » dans la catégorie meilleure révélation. Puis en 2012 avec un premier roman imposant (pas moins de 600 pages tout de même) El anarquista que se llamaba como yo (L’Anarchiste qui s’appelait comme moi) aux éditions Acantilado, primé Meilleure Première Œuvre par le journal El Cultural. Mais aussi en tant que traducteur avec Anima de Wajdi Mouadwad, primé « el Premi Llibreter 2014 » (Meilleur roman étranger).

Un auteur – traducteur salué par la critique

D’abord avec Fricciones, finaliste du prix « La Tormenta en un Vaso » dans la catégorie meilleure révélation. Puis en 2012 avec un premier roman imposant (pas moins de 600 pages tout de même) El anarquista que se llamaba como yo (L’Anarchiste qui s’appelait comme moi) aux éditions Acantilado, primé Meilleure Première Œuvre par le journal El Cultural. Mais aussi en tant que traducteur avec Anima de Wajdi Mouadwad, primé « el Premi Llibreter 2014 » (Meilleur roman étranger).