Bassoléa
Juliette Mézenc

Bassoléa s’oppose au monde, de toute sa rage, de toutes ses forces, mais elle cherche aussi des échappées, des issues. Parce que Bassoléa est avant tout enthousiaste, curieuse, avec la folle envie de comprendre la vie, d’y participer, de l’inventer plus vivante, plus intense.
Cet instinct de vie phénoménal la poussera à construire cette drôle de véranda sous terre. Et c’est de là, de ce lieu si particulier, que nous allons prendre, avec elle, le temps d’observer le vivant, le sol, par le dessous.
Couverture de Renaud Buénerd.
Pour découvrir un extrait de Bassoléa
Nominations pour le : Prix Chapitre Nature 2025, catégorie littérature.
Ce qu’en dit l’auteur·rice
Les libraires en parlent
- La plume de Juliette Mézinc est une luciole, petite lumière insaisissable et subtile. Un livre qui chante juste. Librairie Mots & Merveilles, Culture Contact (Gignac)
- Lecture parlante, marquante, éclairante, stratifiante, et plus encore. Margot, Librairie Passages (Lyon)
- Le monde vu dix pieds sous terre, pour être mieux et ainsi mieux comprendre ce que nous ne voyons pas et, de fait, ne comprenons pas... La Machine à lire (Bordeaux)
- Une ôde au vivant, aux petites bêtes, à la petite vie qui compose le dessous du monde. Librairie Esperluette (Lyon)
Revue de presse
- Bassoléa ou de l'herbe dans le ventre est un texte très joyeux et très ouvert, mi-satire mi-expérience visionnaire. Libération par Éric Loret
- Ce texte s'élève autant qu'il nous décompose et nous bouleverse dans notre humanité.Diana,@januaepatefactae sur Instagram
- Plus qu’un roman ou un récit, le texte est une adresse enflammée à un -tu anonyme, qu’on oublie vite, qui peut-être n’est que prétexte à une adresse générale aux lectrices et lecteurs.Karoo par Louise Van Brabant
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- Il s’agit d’apprendre de la nature, il s’agit de contempler, il s’agit aussi de rendre possible l’expérience radicale de ce qui est appris, de ce qui est perçu, de ce qui est pensé, de faire l’expérience du plan d’immanence.Diacritik par Jean-Philippe Cazier
- « Bassoléa » ne se résume pas à ces deux références-là, bien au contraire, c’est sans doute aussi un grand texte écologique, une manière de se réapproprier la place que nous n’aurions jamais dû mettre en doute : notre place au cœur de la nature.Eric Pessan
- Un chant vibrant, une parole libre, incarnée, profondément vivante.Liminaire, par Pierre Ménard
- Un livre très bien écrit, étonnant et détonnant par ce sujet rarement évoqué, qui au-delà du morbide assumé, nous parle frontalement de notre « inscription » en tant qu’humain dans le cycle de la vie, en harmonie avec la nature.Choisir & Lire : Les Notes
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La Sentinelle