Passer l’été
Irène Gayraud
Passer l’été nous précipite au coeur d’un été caniculaire, alors que la sécheresse et les feux de forêts font rage. Dans le jardin d’une maison familiale, on subit, dans l’impuissance et le repli, la brûlure de cette chaleur écrasante.
Page après page, ce sont les mutations profondes et inquiétantes de notre environnement qui apparaissent.
De tout être que l’on voit
arbre
ruisseau
roitelet
on se demande
s’il passera l’été.
Pour découvrir un extrait de Passer l’été
Couverture réalisée par Renaud Buénerd
Ce qu’en dit l’auteur·rice
Les libraires en parlent
- Un poème qui touche au plus profond et bouleverse, interroge sur notre monde qui souffre, la nature qui subit, et l’homme dans tout ça… Librairie De fil en page
- À la fois terrifiant et plein d'espoir... Marianne, La Géolibri
- Irène Gayraud dit la canicule qui écrase, la sueur, la terre gercée - l'attente de la pluie, le temps qu'il n'y a déjà plus... Librairie Georges
- Recommandé par Lucile Lucile, Librairie Page & Plume
- Un recueil à lire, à faire lire, et à distribuer autour de soi... Furet du Nord (Lille)
- Une poésie acerbe et abrupt... Librairie La nuit des temps
- Tout est brûlant, les jours passent et seule l'averse peut délivrer. Elijah, Librairie La Petite Ourcq
- Un poème pour la vie... Librairie Mots & Merveilles (Gignac)
- Parler du réchauffement climatique en poésie... défi superbement relevé ici ! Librairie Le Rideau Rouge
- Passer l'été : le sauvage de la semaine Jean, Librairie Les Sauvages (Marseille)
- C'est un livre qui décrit de façon si précise ce que nous vivons... Sandie, Le Tracteur savant (Saint-Antonin-Noble-Val)
- Passer l'été laisse une impression physique forte. Marianne, La géolibri (Bordeaux)
- Résonance inversée mais totale avec Passer l’été, cri de poésie, terrible mais indispensable. Merci encore Anne, Librairie Boucan (Pont-Aven)
- "Passer l'été" nous enfièvre en peu de mots vers un été caniculaire où tout semble immobile. Librairie La Marge (Haguenau)
- Une poétique de l'incandescence. Librairie Esperluette (Lyon)
Revue de presse
- À dévorer d’une traite ou à picorer à l’envi pour passer l’été !Musée de la chasse et de la nature
- Une poésie d’alerte, humble dans ses moyens, radicale dans sa lucidité que l’on aurait tort de prendre pour du catastrophisme.La Liberté : « Prendre la température » par Thierry Raboud
- Irène Gayraud fait ressentir la chaleur de l'air et la souffrance des animaux.Le Monde des Livres : « Perdre un monde » par Tiphaine Samoyault
- Avec "Passer l'été", nous changeons de repères. La canicule défie notre pulsion de vie.Topnature, par Coline Enlart
- Passer l’été pose finalement un double défi. Celui de traverser les fortes chaleurs estivales pour arriver sain et sauf à l’automne, et celui de faire parler de « ce qu’il reste : ce qui doit être sauvé »Poesiebao : Guillaume Curtit introduit ce livre brûlant qui revient sur les drames du réchauffement climatique
- Passer l’été est court mais percutant, fort et clairvoyant qui peut aider les vivants du monde d’aujourd’hui à ne pas se voiler la face pour penser à ceux du monde de demain.Lire & Choisir : Les Notes
- Performance lecture d'Irène Gayraud, traduite en LSF.La Croix du Nord, par Françoise Objois
- Dans l’univers éclectique et innovant de la musique contemporaine, Irène Gayraud se distingue par son talent polyvalent en tant que poétesse et récitanteRivages Culturels : « Irène Gayraud : l’infatigable abeille de l’été »
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Collection
La Sentinelle