Pour aller plus loin

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Catherine Painset, pour La Voix du Nord

Catherine Painset, pour La Voix du Nord

« Sortir au jour » : l’écrivaine Amandine Dhée met des mots réconfortants sur la mort

La Lilloise parlait de sexe dans À mains nues ; cette fois, elle nous ouvre la porte du royaume des morts. Après Éros, Thanatos ? La question sonne comme une blague. « Avec les copines, on parle de sexe mais aussi de mort, avec sagesse. Les femmes savent que le temps est précieux. Qu’il faut prendre soin du lien, de la transmission », réagit l’écrivain. Le temps, le lien sont des thèmes récurrents dans l’œuvre d’Amandine Dhée. Sortir au jour (titre emprunté à l’Égypte antique) est né de sa rencontre avec Gabriele, thanatopractrice, qui a parlé avec confiance de son métier. Le livre est aussi une adresse à son petit garçon. “Quand la question de la mort est posée et qu’on est un peu lâche, on a envie de fuir. Mais il faut bien répondre quelque chose…” L’autrice le fait avec délicatesse et esprit, profondeur et légèreté, loin de l’affliction.

Amandine Schmitt, pour L’Obs

À l’origine de ce petit livre violet, la rencontre, lors d’une signature en librairie, de la romancière avec Gabriele, thanatopractrice de son état. Celle-ci décrit son choix de reconversion qui décontenance ses interlocuteurs (alors que quand elle « travaillait dans une agence de communication, personne ne [lui] demandait jamais pourquoi »), ses gestes, ses relations avec les endeuillés, et sa belle mission. Amandine Dhée s’interroge sur la façon d’aborder le temps qui passe avec ses enfants. Un dialogue serein, apaisé, comme pour apprivoiser la fin de vie et la faire entrer avec douceur dans nos conversations.

Librairie la tête ailleurs (Paris)

COUP DE CŒUR. Un dialogue entre deux femmes, l’une confrontée à l’angoisse de la maladie, de la mort et l’autre, thanatopractrice, confrontée aux préjugés sur son métier. Un beau récit sur comment prendre soin de la mort signifie prendre soin de la vie, de nos vies…

Librairie La baignoire d’Archimède (Brive la Gaillarde)

Suite à sa rencontre avec Gabriele, thanatopractrice, Amandine Dhée instaure une sorte de dialogue entre elle et cette femme.  C’est grâce à une écriture sensible, souvent teintée d’humour que l’auteure pose une réflexion sur la mort et la perte tout en parvenant à restituer le quotidien de thanatopracteur, ce métier passion, par lequel se transmet respect et sensibilité.

Henri-Charles Dahlem, pour Ma collection de livres

Henri-Charles Dahlem, pour Ma collection de livres

Camille, de la librairie Garin (Chambéry)

Lire Amandine Dhée, c’est l’assurance de passer un bon moment car non seulement cette autrice écrit toujours sur des sujets intéressants mais en plus, elle le fait avec simplicité et une forme d’humour dont elle a le secret. Que cela fait du bien ! Dans ce dernier récit, elle nous parle du rapport de notre société avec la mort à travers le parcours d’une femme, thanatopractrice.

Un livre qui remue sur un sujet tabou, un très gros coup de cœur !

Charline Cauchie pour l’Echo

Charline Cauchie pour l’Echo

Amandine Dhée, Salomé Kiner et Myriam Leroy rendent hommage à Annie Ernaux

Soazic, pour L’Affranchie Podcast

Retrouvez tous les podcasts de L’Affranchie ici

Librairie la pluie d’été (Mèze)

Librairie L’Utopie (Paris, 11e)

Juliette, de la librairie Quai des Brumes (Strasbourg)

Amandine Dhée est une fée qui nous accompagne là où on n’ose pas toujours aller. Après le mythe de la mère parfaite et le désir des femmes, voici la mort qui toque à la porte.

Sujet casse gueule sauf quand on sait prendre de la hauteur avec délicatesse et humour alors la magie opère…

On rit de nos peurs et de nos fantasmes et ce dialogue délicieux nous encourage à voir toute la puissance de la mort comme alliée de la vie, dans ce texte tout est rassurant !

Ayla, de la librairie La Nuit des temps (Rennes)

Coup de cœur d’Ayla

Drôle, intime et délicat, ce roman d’Amandine Dhée réussit à nous parle de la mort comme personne. Ou plutôt, de la peur de la mort. On a le nez qui pique, et tout d’un coup, une phrase nous fait rire, on déglutit, on sourit, on replonge dans l’intime, dans les questionnements, dans la peur et à nouveau une petite phrase, une réflexion nous sort de nos angoisses… On alterne entre l’interview d’une thanatopractrice délicate et touchante et les interrogations de l’autrice. Jamais dramatique, parfois étonnant mais toujours intelligent, ce court roman saura apaiser votre âme avec beaucoup de douceur. 

Eloïse, de la librairie L’Embellie (La Bernerie-en-Retz)

Librairie Les Yeux qui pétillent (Valenciennes)

 Coup de cœur  

Un livre singulier dans lequel Amandine Dhée nous livre le quotidien de Gabriele, thanatopractrice. En écrivant, en plein confinement, où elle écoute « tous les soirs, le décompte des morts à la radio », elle s’interroge sur la mort et notre rapport à la mort. 

Avec humour, légèreté et beaucoup de sensibilité, on plonge dans l’intime. Qu’est ce qui fait la vie ? En parlant de la mort, elle nous parle avant tout de la vie, de ce qui nous lie et de transmission. 

Sophie, de la nouvelle librairie sétoise (Sète)

Avec tendresse et humour, Amandine Dhée dégoupille notre rapport à l’inacceptable, on pleure, on rit… on vit !

Librairie Bookstore (Biarritz)

Lors d’une dédicace en librairie, l’autrice rencontre Gabriele, qui exerce la profession de thanatopractrice. De leurs échanges naît cet ouvrage, où les réflexions, les doutes, les façons d’envisager le monde des deux femmes se croisent, se confrontent, se répondent.

Aboutit une conversation lumineuse, sur la mort, la vie, les apparences et l’envers du décor, la transmission et le tabou, servie par l’humour et le talent littéraire d’Amandine Dhée. 

Un texte doux et réconfortant!

Ariane, de la librairie Tulitu (Bruxelles)

Quelle merveille! Amandine Dhée nous partage ses questionnements sur la mort et c’est réconfortant et drôle ! Merci Editions La Contre Allée de nous offrir ce bijou!

Sauramps Comédie (Toulouse)

« Ecrire sur la mort me tient en vie. »

Après avoir questionné des sujets tels que les diktats faits sur le corps des femmes enceintes et des femmes en général, celui du désir féminin, Amandine Dhée s’attaque dans son dernier roman à la mort. Comme à son habitude le sujet est traité finement, intelligemment et avec humour. Le livre est entrelacé de récits de Gabriele : une thanatopractrice rencontrée lors d’une rencontre en librairie. Son témoignage est à la fois instructif et touchant et lié à l’intime d’Amandine Dhée l’ouvrage devient universel. Cette dernière a le don des génies : parler d’elle pour parler de nous. Tout « simplement ».
A lire, vite. 

Rosalie, de la librairie De beaux lendemains (Bagnolet)

Coup de cœur !

Librairie La Procure (Lille)

Au détour d’un rencontre avec une jeune femme récemment reconvertie dans la thanatopraxie, Amandine Dhée s’interroge sur ce métier que l’on connaît mal. 

D’un voix audacieuse et singulière, non dénuée d’humour, elle partage sa découverte d’une profession qui fait écho à l’intime, à l’universel à ce que nous sommes, nos racines, la trace que nous laisserons. 

Car que sommes-nous, si ce n’est du lien ? 

Mélanie, d’Atout Livre (Paris)

De sa rencontre impromptue avec une thanatopractrice, notre Amandine Dhée préférée (autrice du génial La femme brouillon, du formidable A mains nues) , tire un livre qui parle de la mort, en restant résolument ancré dans la vie.

On adore !!

Morgane, de la librairie Libambulle (Prades)

Hier, 19h, après des semaines fatigantes, après un apéro de Noël avec les collègues, je remarque la boite aux lettres ouvertes …. dedans il y avait un super cadeau de Noël de libraire : le futur (et oui ! Sorti le 13 janvier !) Nouveau petit bijou d’Amandine Dhée !! Bon bah je l’ai (déjà) fini ! Arrivé à point nommé dans ma vie, soulevant ce que j’avais besoin de soulever, me disant ce que j’avais besoin d’entendre … avec toute la douceur et le réalisme de son écriture Amandine nous parle du deuil, de la mort et de thanatopractrice ! Bref, encore touchée en plein coeur ! 

Moi qui n’arrivais plus à lire autre chose que de la bd depuis quelques semaines … un vrai délice de noël ! Vivement le 13 janvier ! Et c’est aux éditions de la Contre allée !

Librairie Il était une fois (Saint-Lys)

Un nouveau livre d’Amandine Dhée, c’est un rendez-vous privilégié. D’avance on savoure. Pendant on savoure. Après, on savoure encore, tant ces bribes d’introspection partagées, ces inspirantes réflexions, ces doutes et ces questionnements exprimés avec simplicité et talent, nous accompagnent et résonnent. Cette fois, avec l’humour et la pertinence qui la caractérisent, Amandine Dhée nous parle de mort pour mieux mettre en relief le sel de la vie. C’est encore en tant que mère que l’autrice s’interroge, car que répondre à un petit qui vous demande s’il va mourir un jour, lui aussi ? A cette occasion, au fil de sa pensée se tisse aussi la voix d’une interlocutrice, celle de Gabriele, thanatopratrice, pour un dialogue fécond sur la place de nos morts, sur celle qu’on fait à la mort dans nos sociétés, sur nos tabous, nos rituels et nos interdits, ceux notamment mis au jour par la pandémie. Un livre intelligent, dans un style vif et brillant, hautement réconfortant.

Virginie de la librairie La Pléiade (Cagnes-sur-Mer)

Un récit émouvant et drôle par moments. Amandine Dhée ne joue pas la comédie et nous fait part de ses dialogues avec son petit garçon et ses proches sur un sujet difficile qui est la mort. L’idée de ce livre est venue de sa rencontre, lors d’une soirée en librairie, avec Gabriele, une jeune femme thanatopractrice. Nous allons suivre leurs réflexions et pensées par chapitres interposés sur ce thème qui nous touche tous et que nous n’osons pas forcément aborder…Une lecture très intéressante par la découverte de ce métier méconnu et très touchante également car il traite de tous les liens qui nous unissent les uns aux autres.

Laura, de la librairie L’oiseau Lire (Évreux)

« Et les deux étaient vrais et les deux étaient réels, et la mort et la joie et je me demandais comment c’était possible de faire se rejoindre les deux bords »

Les événements de ces dernières années ont accentué les tabous autour de la mort et du deuil. Amandine Dhée propose avec ce livre de se redonner le droit de parler et de ressentir. 

L’autrice désirait écrire « un texte réconfortant sur la mort » et c’est une réussite !!

Laurent Pfaadt, pour Hebdoscope

En évoquant le métier de thanatopracteur, Amandine Dhée délivre un véritable manifeste en faveur de la vie

La vie réserve parfois de surprenantes rencontres même pour quelqu’un qui les attend et en fait la matière de son activité créatrice. C’est ce qui arriva à Amandine Dhée, autrice de plusieurs romans dont La Femme brouillon (Contre Allée, 2017), prix Hors Concours qui évoque son expérience de la maternité.

Alors qu’elle fait la promo de son dernier ouvrage, elle rencontre une femme, Gabriele, qui lui parle de son métier : thanatopractrice. Commence alors une relation entre les deux femmes qui allait aboutir à ce livre magnifique.

Retrouvez l’intégralité de la recension : http://www.hebdoscope.fr/wp/blog/parle-avec-elle/

Blog littéraire Les mafieuses

J’attendais avec impatience le dernier livre d’Amandine Dhée depuis que j’ai découvert le ton singulier de cette autrice dans « La femme brouillon ». Un petit bouquin sur la maternité qui touche et qui est sorti en 2017. Dans ce nouvel essai il est question de la mort, suite à une rencontre dans une librairie pour un livre précédent. Amandine Dhée croise une thanatopractrice et plusieurs échanges vont découler de cette rencontre. Ce livre en restitue une partie et questionne le statut de la mort dans notre société, que ce soit lorsqu’on en parle avec des enfants ou lorsqu’on se représente la mort d’une manière ou d’une autre. Comme souvent chez Amandine Dhée son approche est intéressante et amène de nombreux questionnements. Le ton n’est pas dénué d’humour et nous met facilement face à nos contradictions. Un réel plaisir de lecture.

Basile, pour la librairie du Channel Actes Sud

Amandine Dhée raconte nos vies, à travers son quotidien d’autrice et de mère et pose sur le papier ses réflexions et ses constats sur la mort et son traitement en France, sans peine ni tristesse. Ces observations sont agrémentées du beau témoignage de son amie thanatopractrice Gabriele et de la perception de son métier dans notre société. En filigrane de ce sujet qu’est la mort, Amandine Dhée nous propose en réalité une réflexion sur la vie, l’envie d’être en vie, aussi celle de la donner. Un beau témoignage à la lecture accessible, à la fois intime et universel. 

L’Autre Rive (Toulouse)

Amandine Dhée rencontre Gabrielle, thanatopratice, à la fin d’une rencontre en librairie.  Dès lors, un dialogue sur le rapport qu’elles entretiennent avec la mort s’instaure et l’idée de ce livre germe. Ça pourrait être lugubre mais c’est au contraire lumineux, d’une extrême sensibilité et même drôle, parfois, parce que pourquoi pas ? 

JT 12-13 France Nord Pas-de-Calais

JT 12-13 France Nord Pas-de-Calais

Librairie Atoutlivre (Paris 12ème)

Margot, pour Cultures Sauvages

Margot, pour Cultures Sauvages

Envie de lire un livre étonnant, plein de talent, éclairant, surprenant, instructif, intuitif, sensible et riche d’humanité ? De comprendre, expliquer, rencontrer, ressentir et sentir des frissons de tendresse, d’apprentissage, ceux de la vie ? Oui ? Alors, alors…

Une superbe couverture, comme les éditions majeures La Contre-allée nous en offrent souvent. Un titre attirant, expliqué dans le livre : « Sortir au jour » est la traduction littérale du titre du Livre des morts des anciens Egyptiens. Une histoire de rencontre, de sagesse et d’apaisement. Une curiosité titillée, une envie de savoir justement faire la part des choses sur la vie, la mort, les sens à mettre derrière tout ça, et ainsi, en lisant, connaître un métier qui nous lie, tous, mais ici présenté sous un regard multiple et peu ordinaire.

« Sortir au jour » est un livre étonnant qui aborde sincèrement, intimement un thème souvent évité sous cette forme. La mort est censée être triste, tragique, indicible, une perte infinie… Mais « Sortir au jour » nous montre aussi, surtout, combien la mort est un thème qui nous lie.

Les pages sont une rencontre, un dialogue pour rendre l’inévitable acceptable, pour accepter le cours du temps même quand il se brouille, pour ouvrir les portes, aussi, comme une quête de sens collectif.

Lire l’intégralité de l’article en ligne en cliquant ici

Librairie BOUCAN (Pont-Aven)

Dimanche pluvieux, dimanche heureux.

Lecture d’une traite d’un objet littéraire unique où le rire déjoue la mort, où la douceur du témoignage déjoue les clichés, où France Gall déjoue l’angoisse, où la finesse de la compréhension et de l’écriture nous éloigne de l’aveuglement, nous ouvre les yeux et les sens, nous rapproche de nous-mêmes et des autres.
J’ai offert 20 fois, conseillé 100 fois À mains nues d’Amandine Dhee, je ne ferai rien de moins pour Sortir au Jour. J’aime cette femme que je ne connais que par ses textes et qui me rend plus intelligente. Merci Amandine Dhée. Merci aux Éditions La Contre Allée.