Une coédition avec les éditions Zulma
Quelques années après la Grande Panne, un groupe d’une douzaine de personnes, pour la plupart âgées ou blessées lors de la Troisième Guerre mondiale, vit barricadé entre les murs de l’Institut Pere Mata, l’ancien hôpital psychiatrique de Reus, en Espagne. Ils sont entrés en résistance et survivent, sans électricité, sans eau, sans ravitaillement ni Internet ou téléphone. Pour des raisons géostratégiques et militaires, la péninsule ibérique est en cours d’évacuation. La date limite pour quitter le territoire approche, il n’y a presque plus personne dans le pays, et aucun espoir pour ceux qui ont décidé de rester…
Parmi les reclus, un vieil écrivain de 89 ans vient de se fouler la cheville. Au programme de sa convalescence : jouer aux échecs, apprendre par cœur les décimales du nombre Pi… et écrire son journal sur les pages vierges des livres mités récupérés dans la bibliothèque de l’institut par la jolie docteur Lourenço. Le récit de ces derniers jours, pour quelle postérité ? Qui sait. Nous l’avons bien entre les mains…
Défi plein de fantaisie et d’autodérision, Reus, 2066 joue avec les frontières poreuses entre fiction et réalité. Bizarreries, obsessions et petits (ou grands) travers humains dressent une dystopie subtile et réjouissante.
Contact libraires : Valentin Féron
01 58 22 19 90 – valentin.feron@zulma.fr
Ce qu’en dit l’auteur·rice
Les libraires en parlent
- Jusqu'à la dernière ligne, ce livre traduit la prouesse que signifie le fait de vivre, malgré les contradictions et folies humaines. Clarence, La Chouette librairie (Lille)
- Ce journal devient un recueil de réflexions sur la vie et sur l’humanité. Splendide ! Librairie Les Carnets d’Albert (Sallanches)
- Dans un monde où tout a basculé, Reus, 2066 explore notre futur pour mieux questionner notre présent. Subtil et réjouissant, un régal ! Jean, Librairie Torcatis (Perpignan)
- Martín Sánchez y injecte énormément d’humanité et de fantaisie, témoignage plein d’espoir et de vitalité. Nicolas, Librairie Le Vent Délire (Capbreton)
- Un romancier à lire de toute urgence pour l’originalité de sa démarche littéraire et pour son formidable sens de la narration. Odile, Librairie Candide
Revue de presse
- Reus, 2066 n’en constitue pas moins un récit brillamment écrit et une formidable ode à l’esprit de résistance. Le Fictionaute, par Franck Brénugat
- L'auteur n'en propose pas moins un véritable thriller dans la meilleure veine des dystopies post-apocalyptiques... L’Humanité : « 2066, l’année où il faudra évacuer l’espagne » par Alain Nicolas
- Pablo Martín Sánchez, grâce à un traitement littéraire à la fois érudit et accessible, nous met en garde avec maestria.Pour le supplément littéraire du « Tageblatt » : Reus, 2066
- II en profite pour s'essayer cette fois au roman dystopique, et y slalome brillamment entre les lieux communs du genre.Le Vif Express
- Cette troublante dystopie de Pablo Martín Sánchez reflète nos guerres extérieures et intérieures, en célébrant la force que l'on puise dans le deuil ou dans l'amour. «Livres Hebdo, par Karenn Elkaim
- Pablo Martin Sanchez, conteur hors pair est aussi un grand manipulateur de marionnettes. Grandiose, cette littérature qui dévoile ses coutures !Le Matricule des Anges : « Accroché à la falaise du Je » par Dominique Aussenac
- On lui doit aussi, de loin en loin, sous-tendant le récit, une réflexion sur la fragilité de l’écriture...Choisir & Lire : Les Notes